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15 octobre 2017 7 15 /10 /octobre /2017 08:22

L’espace d’art « les Carmes Art Contemporain » a le plaisir de vous inviter à l’exposition de

Peintures " Try another world" du peintre Daniel DESPOTHUIS

du samedi 27 octobre au samedi 16 décembre.

Le vernissage aura lieu le vendredi 27 Octobre à partir de 18h.

En attendant ce rendez-vous, vous pouvez :

- (Si vous ne l’avez déjà fait) découvrir l’œuvre du peintre Carles BROS jusqu’au samedi 21 octobre.

-  Le 20 octobre à 20h30 venir entendre Antoine SEEL et échanger avec lui à l’occasion de la

conférence qu’il animera sur le thème « art et politique en Amérique latine »

 

 

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6 septembre 2017 3 06 /09 /septembre /2017 20:14

 

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4 juin 2017 7 04 /06 /juin /2017 09:26

ART Plus vous invite au vernissage de l’exposition du photographe Jean-Claude LIEHN
intitulée « influences croisées »
qui aura lieu le Vendredi 16 Juin 2017 à 18 heures à l’Espace d’Art Contemporain Les Carmes.
Cette exposition se poursuivra jusqu’au 22 juillet.


Dans ce cadre Jean-Claude LIEHN animera une conférence le samedi 17 juin à 20h30 intitulée « BECHER, SHORE, DEPARDON :
la photographie entre art et document ».

Il proposera également un atelier d’écriture le Samedi 17 juin à 14 heures

Au plaisir de vous y retrouver.

 

 

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11 avril 2017 2 11 /04 /avril /2017 19:59
Vernissage « Ensemble» 2017
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21 février 2017 2 21 /02 /février /2017 10:47
La prochaine exposition proposée par la Galerie des Carmes est consacrée à  Enriqueta HUESO MARTINEZ et Kenryo HARA et s'intitule
 
« ORIENT/OCCIDENT».

Exposition du  10 Mars au 22 Avril 2017

Le Vernissage aura lieu  le vendredi 10 Mars à partir de 18h.

La rencontre de deux artistes qui exposent pour la première fois en France ; une venant de Valence en Espagne, l’autre du Japon.
Au-delà des différences de cultures, un dialogue, des convergences, des résonances qui nous prouvent que les arts de l’Orient et de l’Occident peuvent être complémentaire.


Au plaisir de vous revoir bientôt.

--

Espace d'Art Contemporain Les Carmes
19, rue des Carmes
09100 PAMIERS
Tel : 05.61.60.21.31
 

 

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25 janvier 2017 3 25 /01 /janvier /2017 09:28

A l'instar de Jocelyne Marchand‎  
JUMELAGES AMITIES PAMIERS/CRAILSHEIM


Il s'en passe des choses partout en France pour la semaine franco-allemande ! et Pamiers n'est pas en reste !

Jumelages-Amitiés profite de l'évènement pour renforcer son action extra-scolaire, en partenariat avec le collège Rambaud et le lycée Pyrène.

L'Office franco-allemand pour la Jeunesse (OFAJ) encourage et soutient cette initiative.

 

 

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 10:17

le départ à Crailsheim

 

A l’instar de La Dépêche du Midi :
Le jumelage entre Pamiers et Crailsheim fonctionne à plein régime, même en période estivale. Signe de cette excellente entente entre les deux communes, la présence de huit jeunes Allemands, âgés de 12 à 15 ans, en terre ariégeoise, jusqu'au 13 août. Arrivés depuis le week-end dernier, les jeunes adolescents ont eu droit aux honneurs de la mairie, lundi soir. Pour leur souhaiter la bienvenue, un goûter avait été spécialement préparé dans les salons du bâtiment de la place Mercadal. Un petit événement organisé en compagnie de Juliette Bautista, adjointe en charge du tourisme et du jumelage, et d'autres élus du conseil municipal. Accueillis durant une dizaine de jours par plusieurs familles d'élèves du Castella, de Rambaud et de Notre-Dame, les jeunes originaires d'outre-Rhin vont avoir tout loisir de se familiariser avec une thématique bien particulière : le pain. En plus d'une visite des Flocons de l'Ariège, les huit élèves découvriront l'atelier de « L'Ariégeoise du Pain », route de Mirepoix.

 

Flocons de l'Ariège

 

« L'Ariégeoise du Pain »


A l’instar de midinews 2015 :

Cette année les jeunes Allemands venus de Crailsheim la ville jumelle de Pamiers auront eu à plancher sur le pain durant leur séjour linguistique.

C’est une tradition depuis plusieurs étés, reçus par les familles d’élèves du lycée du Castella, du collège Rambaud et de l’institution Notre Dame, ils sont quelques-uns à faire le voyage et à travailler sur un thème bien précis. Pour l’édition 2015, ils ont eu comme thématique « le pain dans tous ses états », l’occasion pour eux ainsi de visiter des fournils locaux.

 

Les huit correspondants allemands en compagnie des élus de la ville./ Photo DDM, J.M.


Âgés de 12 à 15 ans, les huit jeunes Allemands ont été également reçus en mairie par Juliette Bautista, élue en charge du jumelage « Un nouvel échange qui prolonge cette année encore cette belle amitié entre nos deux villes jumelles.

Ici le pain croustille, on dit même qu’il chante, vous l’avez découvert à l’occasion de votre parcours initiatique sur le thème «le pain dans tous ses états» et qui sait peut-être ce nouveau séjour aura-t-il suscité de nouvelles vocations, ariégeoises, pourquoi pas !
».

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23 juillet 2014 3 23 /07 /juillet /2014 13:59

 

Agnès BOULERY a ouvert en 2011 une école d’Art associatif à Pamiers :  « Les Ateliers d’Appamée » . Elle était photographe de formation, passionnée par l’humain et les sociétés traditionnelles. En 1990 elle a changé son appareil contre un pinceau et elle s’est lancée dans les grands formats. Elle expose et vend dès 1991. Elle se consacre à son travail personnel jusqu’en 2008 en exportant toutes ses oeuvres en Espagne où elles connaissent un vif succès.

 

(Cliquer sur les photos pour les agrandir.)

 

Depuis avril 2012 Aline GALY fait partie de l’association des Ateliers d’Appamée ; elle a appris la technique de la peinture acrylique grâce aux  conseils d’Agnès BOULERY et elle a ainsi pu réaliser quelques toiles. Ses thèmes de peinture sont orientés sur des modèles à la fois romantiques et sensuels. Elle a envie de progresser dans cet art et essayer d’autres thèmes (figuratifs ou contemporains).

 

 

 

 

 

Raymonde JOULÉ est entrée en peinture comme on entre dans les ordres, avec une soif d’apprendre intarissable. Depuis mars 2013 elle est un des piliers de l’association les Ateliers d’Appamée et elle fréquente assidûment les cours. Après une carrière dans l’éducation nationale, elle laisse libre cours à son imagination et à sa créativité sans limite. Sa grande sensibilité lui permet de saisir les nuances subtiles partout où ses yeux se posent et c’est un vrai plaisir de la voir peindre.

 

 

 

 

Bernadette LEMARCHAL est une jeune retraitée. Elle est arrivée à l’atelier il y a 9 mois. Elle maîtrisait déjà la peinture de paysage et de natures mortes mais elle voulait se perfectionner dans les portraits.

 

 

 

 

 

 

Elève d’Agnès BOULERY depuis la création des Ateliers d’Appamée, elle signe ses modestes toiles acryliques du nom de Cathy LUCAT. Elle travaille dans un lycée qui participe au jumelage avec Crailsheim. Elle se réjouit de prendre part aussi à cet échange entre les deux villes. Ces toiles réalisées aux Ateliers ne sont pas uniquement des essais artistiques au travers desquels elle satisfait son goût pour la peinture. Elles représentent aussi le bonheur du partage, de la solidarité au sein d’un groupe qu'Agnès BOULERY a su créer et souder par sa personnalité, son écoute et sa générosité. Les belles rencontres ne se limitent pas aux Ateliers, elle a participé à quelques expositions ouvertes aux amateurs. Ses peintures qui traitent pratiquement toutes de l’humain lui ont valu quelques prix. Elle aime avant tout capter le regard et donc saisir les émotions, les sentiments éprouvés par ses modèles. Mais quelquefois point n’est besoin de lire dans les yeux, l’expression corporelle et le cadre dans lequel évoluent ses sujets lui paraissent suffisamment éloquents.

 

Depuis bientôt quatre ans Marie-France PERRAULT a le plaisir de peindre accompagnée par Agnès BOULERY. Elle est retraitée. Elle a accompagné des enfants en thérapie par le biais de la peinture. Elle a découvert l’acrylique avec bonheur. Elle est fascinée par la matière, la couleur, et surtout la lumière. Ayant participé à la découverte des arbres remarquables de l’Ariège, elle a voulu nous faire partager un peu de l’émotion ressentie devant la beauté d’un tel arbre.

Eliane RIVOIRE est la dernière arrivée des Ateliers d’Appamée. Elle était couturière de renom. Elle a trouvé dans la peinture une suite naturelle à sa carrière, tout en délicatesse et en finesse. A petits points elle peint sa toile, avec une patience infinie. Cette peinture est sa première œuvre !

 

Ces sept artistes peintres de « Les Ateliers d’Appamée » exposeront pendant les

 

« Semaines Françaises » du 2ième  octobre au 30 novembre 2014 à Crailsheim / Allemagne dans le magasin Möbel-BOHN.

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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 19:34

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Espace d'Art Contemporain Les Carmes
19, rue des Carmes
09100 PAMIERS
Tel : 05.61.60.21.23
présentera le vendredi 23 août l'exposition de Laurent JIMENEZ-BALAGUER qui se déroulera du 23 août au 21 septembre 2013.

Ouvert du Mardi au Vendredi de 15h à 19h et le Samedi de 10h à 12h et de 15h à 19h.

Vous êtes donc conviés au vernissage le vendredi 23 août à partir de 18 h 30 pour un moment convivial en présence de l'artiste qui nous fait la joie de venir passer quelques jours à Pamiers à cette occasion. Cliquer sur les photos pour les agrandir.

 

Laurent Jiménez-Balaguer est un peintre catalan. Né le 14 janvier 1928, à L’Hospitalet de Llobregat (Barcelone – Catalogne), il s’installe et vit à Paris. Il est un des principaux initiateurs d’un langage privé en peinture et appartient à l’Expressionnisme abstrait catalan et à l’Art informel européen, courants qui se caractérisent par leur revendication humaniste. José María Moreno Galván en 1960, le considérait comme faisant partie des vingt peintres les plus représentatifs de l’Expressionnisme abstrait espagnol.
Son oeuvre adopte l’idée que la création est un acte performatif à partir de la théorie austinienne des actes de langage et de sa pratique de plasticien. Sa conception de l’art et de la société l’inscrivent dans un procès de révolution silencieuse où il appartient au sujet de lutter contre la mort et la disparition de la subjectivité humaine. Pour lui il y a deux réalités impératives : Le corps et la mémoire et L’extérieur et l’intérieur. En opposition au Surréalisme, qui est l’éloge de la non réalité, Jiménez-Balaguer préfère l’expression de « Réalité Autre ».

 

« Pour le peintre que je suis… fasciné par les images qui rendent visible le monde intérieur, ma démarche est l’association de deux concepts primaires : le corps et la mémoire.
Toute mon œuvre est le corps d’une mémoire, en constante évolution. Non seulement parce que le parcours est rythmé par des cycles de vie, mais aussi par la complexité des moments insaisissables qui posent jour après jour la question du sens.
Mais au-delà d’une quête personnelle, je dessine un besoin plus large de transmission de la mémoire. Je veux réaliser le passage de l’individuel à l’universel.
Joignant les cordes morceau par morceau, je trace le chemin pour une continuité ; elles relient ma mémoire intérieure d’homme à un tout d’univers. A travers d’elles, je trouve l’assurance d’être, d’exister devant cette immensité qui nous entoure et nous accable de tout son poids.
Quand le langage pictural touche à ses limites, les cordes sont les outils d’un nouveau langage avec ses propres signes d’identité. Mon acte alors est en tension avec ma prise de conscience… la pensée alors donne le geste.
Si je peins, j’exécute un acte qui se voudrait un projet idéal. Je souhaite faire basculer l’art dans son ailleurs, vers un art d’actes et non d’effets. En moi, il n’y a pas d’images abstraites, il n’y a que des parties d’une réalité.
Ainsi ma peinture est une vérité intérieure, ne ressemblant pas aux choses extérieures, transformant petit à petit le chaos et le sentiment tragique du monde en conscience de soi.
La volonté de conquérir un territoire permet aux êtres, de croire qu’ils possèdent leur destin. A nous le courage de croire en notre rêve et surtout de le réaliser.
L’art sert pour aller plus de la
mort. »

 

Biographie
Dans ses premiers tableaux, Laurent Jimenez-Balaguer a peint des figures humaines, souvent androgynes, où l’expression des visages ne transcrit aucun sentiment connu. Elles lui rappellent l’influence ressentie du Greco :     « Ses personnages ont l’air de flammes, je trouvais cela d’une beauté extraordinaire. Leur corps physique devenait corps spirituel, le corps extérieur et l’intérieur du corps se confondaient. Pour moi Le Greco c’est viscéral. Sa matière n’est pas fixe. Elle n’a pas de contours. Et son geste s’épanouit, s’échappe, va vers l’infini, vers le haut, en quête de Dieu. »

Il abandonne la figuration et l’idée d’une description extérieure du monde pour se focaliser sur le problème du rendre visible l’invisible. « Le plus grand art est de transformer le chaos et le sentiment tragique du monde en conscience de soi et de permettre aux hommes de croire qu’ils possèdent leur destin. »
Il participe activement à la reconnaissance d’une identité catalane et apprend à écrire sa langue maternelle, le Catalan, alors interdit dans l’Espagne franquiste. Il fréquente les cours de la Escuela de la Lonja  et ceux de Fomento de Artes Decorativas et poursuit ses études à l’école des Beaux-Arts de Barcelone.
Ce sont des années d’expérimentation à la recherche de l’expression de l’homme total, concept qui retrouve son intuition d’une psychologie des profondeurs qu’il faut porter à la surface. C’est ainsi que Jimenez peint en plein air, dans les montagnes de Montserrat avec son ami Josep Guinovart  pour libérer son geste de toute convention arbitraire et trouver le point d’assise d’un savoir unique, à partir duquel la connaissance de l’intériorité puisse se fonder.

Laurent Jimenez-Balguer obtient plusieurs prix et bénéficie d’une bourse pour poursuivre ses études à Madrid.
Le jeune peinture espagnol recherche ses marques, ses caractéristiques identitaires et son envergure. Il s’oppose à l’art officiel qui vise une légitimation internationale du régime franquiste. Les avant-gardes catalanistes se meuvent autour de quelques voix singulières qui se font entendre pour la revendication d’un art nouveau, principalement Joan Miró.
Jimenez connaît Cesáreo Rodríguez-Aguilera et sa femme Mercedes de Prat qui deviennent des grands amis à vie.
De retour à Barcelone en 1954, il publie un manifeste : “ He escuchado ” où il définit sa prétention, « to claim » au sens de Stanley Cavell.

En 1956 : Il crée une série de formes abstraites sur fond blanc où ce n’est plus le sentiment hermétique d’une intériorité cachée qui est célébrée, mais le mouvement de l’inexpressivité du soi qui prend vie en se libérant de son silence.
Il trouve à la Galerie Clan à Madrid des aides précieuses comme Manolo Millares du groupe El Paso et César Manrique. Ce dernier deviendra un grand ami et l’invitera à communiquer davantage avec lui.
Sa recherche d’expression totale de l’âme humaine prend un nouveau tournant en 1959 et le mène à la création de formes qui semblent reconnaissables pour toute personne qui les verrait. Ces nouvelles abstractions expressives ne sont ni extérieures ni intérieures et sont plaquées sur un fond cosmique infini.
Le style de cette époque montre la recherche d’un contrôle et d’une maîtrise qui sera une des caractéristiques de Jiménez-Balaguer tout le long de son itinéraire. Il n’y a pas de grattage, d’enlaidissement, de destruction projetée, de violence exercée contre la matière picturale, comme chez d’autres informalistes, car pour lui, la matière c’est l’homme.
Pour Jiménez-Balaguer, tout langage intérieur a pour destin d’être universel :    « Ce combat sans pitié que je mène dans mon corps profond, qu’il faut que je brise sans arrêt pour naître enfin, est celui qui provoque le passage du personnel au collectif... du moi aux autres, de l’individuel à l’universel. »


En 1986, Jimenez contacte Michel Tapié, créateur du concept de Art Autre qui lui présente Rodolphe Stadler.
À partir de 1988 : Jiménez-Balaguer introduit des objets du monde pour dire le monde et utilise leur signification pour dire l’intériorité. Le tableau devient une pure énonciation à l’aide de troncs, cordes, tissus.
En 1990, un lexique du monde est mis en place et une écriture de signifiants. Chaque tableau devient le lieu de visualisation de ce qui constitue un langage universel de l’intériorité. Leur beauté, est dans une énonciation picturale à mi-chemin entre l’affirmation et la question. Chaque affirmation picturale affirme et interroge la nécessité de ses constituants. L’interrogation porte sur la mémoire, la conception du temps, l’identité acquise, la souffrance.

 

 

 

 

 

 

 

Expositions

2012 : "Cicle Invasions Subtils... amb Laurent Jiménez-Balaguer", Espai Guinovart, Agramunt, Catalogne, Espagne
 2012 : "L’Emergència del Signe"5, Musée Can Framis, Fundació Vila Casas, Barcelone, Catalogne, Espagne
 2010 : "El Cos d’una memòria", Galerie Art Vall, Andorre
2010 : "Le Noeud", Galerie Saint Cyr, Rouen, France
2007 : "Cuerpo de una memoria", Galerie Calart Actual, Ségovie, Espagne
2006 : "L'au-delà du miroir", Galerie Guislain-États d'Art, Paris, France
2003 : "OEuvres de 1960 à 1962" et "Souvenirs enfouis", Rétrospective, Galerie Guislain-États d'Art, Paris, France
2002 : "Traces d'une mémoire", Centre d'Études Catalanes, Paris, France
2000 : "Exposition", Galerie Guislain-États d'Art, Paris, France
1999 : "2000 ans de quoi ?", Galerie Lina Davidov, Paris, France
1999 : "2000 ans de quoi ?", Grand Théâtre d’Angers, Angers, France
1998 : "Dedans/Dehors", La Corderie Royale, Rochefort, France
1998 : MPT Courdimanche, Les Ulis, France
1997 : "Images d'une mémoire", Les Cordeliers, Châteauroux, France
1997 : Galerie Lina Davidov, Paris, France
1996 : Galerie Finartis, Zoug, Suisse
1995 : Galerie Calart, Genève, Suisse
1994 : Galerie Rami, Zurich, Suisse,
1994 : Galerie Lina Davidov, Paris, France
1993 : Galerie Adriana Schmidt, Cologne, Allemagne
1992 : Galerie Lina Davidov, Paris, France
1992 : Galerie Adriana Schmidt, Stuttgart, Allemagne
1991 : Centre d'Art Contemporain, Corbeil-Essonnes, France
1991 : Galerie Claude Samuel, Paris, France
1991 : Galerie Rami, Zurich, Suisse
1990 : Galerie Calart, Genève, Suisse
1989 : Galerie Claude Samuel, Paris, France
1987 : "Réalité autre", Galerie Claude Samuel, Paris, France
1985 : Paris Art Center, Paris, France

 

Laurent Jiménez-Balaguer
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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 15:29

A l'instar de La Dépêche, le 10/06/2013 :

 

Agnès Boulery devant l'une des peintures qui donnent du relief aux vitrines de la rue Gabriel-Péri./Photo DDM, L.P.

Agnès Boulery devant l'une des peintures qui donnent du relief aux vitrines de la rue Gabriel-Péri./Photo DDM, L.P.

Les artistes y exposent leur travail.

 

Vitrines ouvertes ou fermées, les Ateliers d’Appamée se les approprient rue Gabriel-Péri pour y mettre plus de couleur.


Une vague de couleurs déferle et tente d’effacer d’un trait la grisaille quotidienne. Direction le collectif d’artistes Les Ateliers d’Appamée, installé voilà un peu plus d’un an rue Gabriel-Péri. A l’initiative d’Agnès Boulery, ancienne photographe professionnelle et professeur de peinture acrylique indépendante, une cinquantaine d’artistes se retrouvent tous les jours pour faire éclater leur talent sur la palette de couleurs. Jusque-là rien de vraiment incroyable, sauf que ces artistes hors du commun, néophytes ou confirmés, profanes ou affûtés, ont décidé de lutter contre la morosité et mettre en lumière les vitrines de leur rue. On le sait, la rue Gabriel-Péri, autrefois très vivante et considérée par beaucoup comme la plus dynamique de Pamiers, a vu ses rideaux se tirer les uns après les autres. Un peu comme ses habitants, appelés à vivre ailleurs dans la ville ou déménager sous d’autres cieux. C’est à partir de ce constat qu’Agnès et ses amies peintres ont réfléchi pour que l’art se mette à habiter cette grande artère afin de lui redonner les couleurs qu’elle mérite. Notons que quelques magasins de la rue de la République sont également dans ce dispositif artistique. «Nous avons contacté les propriétaires des magasins vides et les agences immobilières afin que ceux-ci nous ouvrent pas-de-porte, portes et vitrines. Nous sommes tous fiers de voir nos œuvres s’éclairer derrière les glaces et retenir l’attention des passants». Un joli tableau au final, festival de lumière et de couleurs qui fait rayonner une quinzaine de vitrines avec peintures, sculptures, voire tentures qui attirent l’œil et donnent à la rue un relief inattendu. Tous les styles, abstrait, figuratif ou encore classique, sont à l’honneur jusqu’à mi-juin, date à laquelle les artistes décrocheront leur collection des vitrines. Les Ateliers d’Appamée seront ensuite en exposition pour Fiesta puis fabriqueront la décoration de scène pour le défilé de mode prévu à Pamiers le 19 et 22 juillet. (authorisé par L.P. le 07/06/2013)

 

Album et Video

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